Parkinson : un médicament responsable d’une vague d’addictions aux jeux d’argent !

Récemment, une enquête de Radio France a mis en lumière les effets secondaires alarmants du Requip, un médicament prescrit contre la maladie de Parkinson. Produit par le laboratoire GSK, ce dernier serait responsable d’une multiplication des cas d’addiction aux jeux d’argent, ruinant la vie de nombreux patients… Décryptage.

Le Requip : un traitement qui dérègle le cerveau

En France, pas moins de 48,000 patients atteints de la maladie de Parkinson prennent des agonistes dopaminergiques comme le Requip pour compenser leur perte de dopamine. Mais ces médicaments ne se contentent pas de soulager les symptômes : ils affectent aussi le système de récompense du cerveau, provoquant des comportements compulsifs parfois incontrôlables !

Ainsi, l’enquête de Radio France révèle que de tels effets secondaires concernent près d’un patient sur deux sous ce traitement spécifique. Parmi les troubles observés, l’addiction aux jeux d’argent en ligne, aux paris sportifs et aux jeux de casino semble être particulièrement fréquente, entraînant des pertes financières catastrophiques.

Des patients ruinés par des pulsions incontrôlables

Le cas de Stéphane Grange illustre l’ampleur du problème. Diagnostiqué en 2019, il devient rapidement accro aux paris sportifs, misant jusqu’à 20,000 € par mois sans pouvoir s’arrêter. En deux ans, il accumule 90,000 € de dettes. Sa dépendance aux paris a littéralement détruit ses finances et sa vie de couple. « Je jouais sans réfléchir, comme un automate. Peu importe si je gagnais ou perdais, il fallait que je mise », confie-t-il.

D’autres patients ont vécu des expériences similaires. Sandrine, 62 ans, a perdu toutes ses économies en jouant sur des casinos en ligne ; elle a même dû contracter des crédits à la consommation pour continuer à assouvir ses pulsions. Patrick, ancien cadre, s’est quant à lui endetté à hauteur de 150,000 € après avoir misé sur des sites de poker et de courses hippiques.

Il apparaîtrait que les comportements compulsifs cités sont directement liés à l’effet du Requip sur le cerveau, ce médicament boostant artificiellement le désir de prise de risque, et rendant même impossible toute inhibition.

Le laboratoire GSK accusé de négligence !

L’enquête révèle que le laboratoire GSK était au courant des risques depuis 2003, mais n’a pas suffisamment averti les patients et les médecins. Pire encore, malgré une condamnation en 2012 pour les mêmes raisons, la notice du Requip n’a pas été actualisée depuis 2016.

Face à cette situation, deux patients ont décidé de porter plainte, mais le combat judiciaire s’annonce long et difficile… Les victimes réclament une mise en garde claire sur les boîtes de médicaments, une meilleure sensibilisation des médecins, ainsi que la possibilité pour les patients sous traitement de bénéficier d’un suivi psychologique adapté pour éviter ces comportements destructeurs.

D’un point de vue global, cette affaire n’est pas sans nous rappeler la gestion des effets secondaires des vaccins à ARN messager contre le Covid-19 par Pfizer et Moderna, mise en lumière par la toute nouvelle administration Trump. Pour rappel, ces deux laboratoires sont accusés d’un manque de transparence quant aux effets indésirables potentiels de leurs vaccins, en particulier sur les myocardites et péricardites chez les jeunes hommes.

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